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Le statut de directeur d'école dans les projets présidentiels de 2012

 

Certains candidats ou partis évoquent le statut de l'école et de son directeur.

Qu'en disent-ils ?

 

Marine Le Pen
UMP
UMP & PS

Philippe Poutou 

 

La synthèse et les résultats de la consultation IFOP - GDID sont disponibles sur le site de l'Ifop à l'adresse suivante (cliquer sur le panneau ci-dessous) :

 

 

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5 mars 2008 3 05 /03 /mars /2008 00:00

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Un texte de cadrage sur l’utilisation des heures du samedi a été signé par deux organisations syndicales au plan national le Se et le Sgen. Il doit maintenant servir de base pour la rédaction des textes réglementaires. Le SNUipp a de son côté fait le choix de consulter la profession avant que son Conseil national ne se prononce le 18 mars.

Rappel des nouvelles obligations de service, au-delà des 24 heures hebdomadaires d’enseignement à tous les élèves, 108 heures annuelles réparties comme suit :

24 heures de travaux en équipes pédagogiques + 18 heures d’animation pédagogique et de formation + 6 heures de Conseil d’école + 60 heures consacrées à des actions directes auprès des élèves concernés par le soutien et au temps d’organisation correspondant et/ou, à défaut, au renforcement du temps de formation hors présence élèves.
 

Les élus du personnel SNUipp 80 ont été reçus en audience par l’Inspecteur d’académie de la Somme ce jeudi 28 février. L’entretien a notamment porté sur "l’utilisation des heures du samedi".
 
L’IA considère que le temps d’organisation liée à la prise en charge d’élèves ne pourra dépasser un maximum de 10% soit 6 heures. Il a précisé qu’il ne pourrait s’agir que de temps d’organisation et non de préparation, car ce dernier est pour lui intrinsèque aux obligations de services d’un enseignant que ce soit donc sur le temps d’enseignement scolaire ou hors temps scolaire (soutien).
Même s’il admet que le Conseil des Maîtres effectue le premier repérage, prend les décisions et organise les aides, l’IA insiste sur le rôle des IEN qui, en dernier ressort valident, régulent et contrôlent les 60 heures théoriques de «soutien» («débusquent les gens qui tenteraient de profiter de la situation»…).

Même s’il dit se refuser à un cadrage départemental trop rigide, il a déjà arrêté quelques principes avec les IEN : des groupes de 3 à 6 élèves, éventuellement avant mais surtout après la classe ou pendant la pause méridienne, 2 X 1h ou 3X 40mn par semaine, «pas 8 X ¼ d’heure ou 1X2h», pas le samedi donc, ni le mercredi (sauf si dérogation pour semaine sur 9 demi-journées, mais seulement en 2009/2010). Ce ne serait par ailleurs pas nécessairement ni les mêmes élèves, ni les mêmes maîtres qui seraient concernés toute l’année.

Concernant les RPI, les IEN feraient pour chacun «un diagnostic de situation», interviendraient auprès des communes qui organisent la restauration et le transport pour éventuellement changer les horaires et par exemple allonger la pause méridienne.

Il a déclaré qu’il veillerait à ce que le nombre d’élèves pris en charge et le nombre de modules proposés par les écoles soient en phase avec la réalité des difficultés constatées notamment lors des évaluations. Il est donc «clairement évident» pour lui que tous les enseignants ne pourront pas, «loin de là», utiliser ces 60 heures pour le soutien.

Le «capital temps» qui ne serait donc pas utilisé pour des interventions auprès d’élèves, le serait pour de la formation : les mercredis matins ou toute la journée et pendant les vacances scolaires – «des enfants» a-t-il tenu à préciser...- : petites vacances et début juillet ou fin août. 
Il a avancé l’idée de stages filés les mercredis sur des thématiques particulières (PPRE, TICE, LV), des sessions durant les vacances qui en 2009/2010 pourraient même faire l’objet d’une offre dans le cadre du plan de formation et pour lesquelles les personnels pourraient «candidater»... Il envisage une période de «calage» jusqu’aux vacances de la Toussaint, à l’issue de laquelle les IEN seront en mesure de dire «dans les grandes masses» ce que fera chaque enseignant… tant pour le «soutien» que pour la formation avec l’objectif réaffirmé que «les 60 heures soient faites partout», un décompte de ces heures étant établi sur l’année pour chaque enseignant…

L'IA n’a pas caché que ce dispositif présente clairement pour lui «l’extrême intérêt» de pouvoir développer la formation continue des personnels hors temps scolaire… «sans nécessité de remplacement»... C’est aux IEN de «faire preuve d’imagination pour trouver des solutions intelligentes dans la concertation»… : par exemple, la possibilité de «faire appel à des collègues d’écoles voisines pour assurer la prise charge des heures de soutien dans une école, afin de permettre à ses enseignants de s’engager sur une formation filée sur l’année de 60h, voire 78 en intégrant les heures normalement réservées aux animations pédagogiques et les 6h de formation qui vont s’y ajouter»…. Même solution envisagée pour permettre aux collègues d’écoles ayant beaucoup d’enfants en difficulté d’accéder malgré tout aux formations proposées… toujours hors temps scolaire… Il ne cache pas la complexité de mise en oeuvre de cette FC hors temps scolaire et la difficulté à donner une réelle visibilité sur l’année…afin de permettre aux personnels de s’organiser en conséquence… mais tient à rappeler qu’ «il n’est pas acceptable de dire je ne peux pas aller en FC hors temps scolaire parce que j’ai des enfants»…

 

Concernant les situations particulières
 

Personnels des RASED : en attente des textes réglementaires

Titulaires remplaçants (BD/ZIL) : pas de réponse pour l’instant. La gestion sera difficile selon que le remplaçant remplace un maître qui était censé faire du soutien ou non ; qu’il soit déjà inscrit à des formations ou pas… évoque la possibilité que ce soit plutôt un autre maître de l’école qui assure alors la «continuité du service» pour le soutien, les remplaçants en étant dégagés mais devant en compensation s’inscrire à une ou des formations pour un volume de 60 heures sur l’année (en plus des 18h prévues par ailleurs par le texte : 12h animations pédagogiques + 6h) accédant ainsi «enfin» à des formations longues [mais hors temps scolaire…] dont ils étaient jusqu’alors privés. Il attend toutefois, sur ce point également, d’éventuelles précisions des textes réglementaires à venir.

Personnels sur poste fractionné : en attente des textes réglementaires

Temps partiel : en passant en «4 jours» les quotités (et donc les rémunérations) vont changer l’an  prochain ; ainsi le 77,78 % - correspondant à une journée par semaine – devient un 75%, cette quotité portant sur les « 108 heures» (comme actuellement avec la 27ème heure) les collègues concernés n’étant donc redevables que de 81 heures

Directeurs : en attente des textes réglementaires. Concernant le paragraphe du texte précisant que «l’application de ces dispositions aux directeurs d’école fera l’objet d’un examen particulier». L’IA précise que les directeurs sont concernés par les 108 heures mais que, concernant le contenu des 60 heures, ils pourraient être dispensés d’aide… Il est vrai que leur charge de travail va sérieusement augmenter avec cette «organisation».

Droit syndical : l’IA a déclaré que dans l’hypothèse d’absence de texte de cadrage national, il réunirait les organisations syndicales d’ici juin afin «d’engager une réflexion commune» afin de «rendre au maximum compatibles les deux exigences de continuité du service et droit syndical individuel» en évoquant l’idée que ces réunions pourraient avoir lieu sur les 108 heures…

 
Les représentants du SNUipp abordent la question des directeurs dont la décharge est assurée par un PE2.

- mise en place d’un «crédit décharge» pour les directeurs déchargés par un PE2 ; il s’agirait de ne plus remplacer les directeurs quand les PE2 sont en stage groupé (2 fois dans l’année janvier/février et mai/juin - ce remplacement ayant gelé des brigades cette année pour la première session) mais de leur accorder un «capital temps» qui serait honoré à d’autres périodes de l’année, en fonction de la disponibilité des remplaçants.
Le SNUipp a rappelé que les décharges réglementaires de directions devaient être assurées par des titulaires comme c’était le cas avant que le protocole direction de 2006 - que le SNUipp n’a pas signé - ne vienne changer la donne… 
 

Cette audience est intéressante car il en ressort clairement que le ministère a probablement pris des décisions qu'il ne nous annoncera qu'après les élections municipales. Prudence oblige... 
En effet, il semble que le dispositif est prêt à être mis en oeuvre et que seules quelques "modalités" restent à régler, notamment la question de "l'application de ces dispositions"pour les directeurs d'école.
 

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commentaires

E
Les professeurs agrégés effectuent 15 heures d'enseignement par semaine.Les professeurs certifiés (dont nous partageons le niveau de recrutement et la grille de rémunération) effectuent 18 heures d'enseignement.Exigeons simplement d'effectuer non plus 27 heures d'enseignement mais 24, ce qui permettra de nous rapprocher un peu de nos collègues certifiés.Bon week-end à tous !Christophe ChomantEcole maternelle de Quincampoix (76)
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M
Suite à l'annonce par l'IA du samedi matin 15 mars banalisé pour analyser les programmes et faire des propositions lors d'un conseil des maîtres, nouveau mail du snuipp-fsu Nord sur la messagerie académique :Pour le SNUipp-FSU Nord cette pseudo-consultation, mise en place par le Ministère dans la précipitation, ne laissera pas le temps aux collègues de s'approprier ces nouveaux programmes et encore moins de les analyser. La mise en place de nouveaux programmes aurait mérité plus de temps et une réflexion plus approfondie en y associant, par exemple, les organisations syndicales.Dans ces conditions, nous sommes très dubitatifs quant à la réelle volonté de ce gouvernement de prendre en compte les remarques des enseignants dans l'écriture de ces nouveaux programmes.
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D
Merci Muriel. Nous, dans le 49, on demande aux collègues de boycotter les stages de remise à niveau. On part du principe que rentrer dans ce dispositif, c'est :- admettre que nous sommes mal payés puisqu'on a recours au HSE pour augmenter notre salaire injustement bas- admettre que nous avons trop de vacances puisqu'on accepte de les diminuer- admettre que 45 h suffiront à résoudre des problèmes liés au manque de moyens (postes supprimés, RASED en voie de disparition, remplacements non assurés...)On demande aux collègues d'envoyer à l'IEN un courrier individuel ou signé du conseil des maîtres indiquant que nous refusons d'entrer dans le dispositif et rappelant que la solution passe par une amélioration du budget de l'éducation nationale.J'espère que nous serons nombreux à suivre cette consigne du SNUipp 49 et que, partout en France, les collègues feront de même. 
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M
Nous avons reçu cet après-midi un mail du snuipp-fsu du Nord sur la messagerie académique. Je le copie tel quel :Nouveaux programmes du primaire : 19 organisations réagissent ensemble au projet de programme de l’école primaireMonsieur le Ministre,Nous voulons une école plus juste, dont les finalités et les contenus soient compris et partagés par tous. Nous sommes persuadés que l’école peut et doit faire réussir tous les élèves, et que pour cela, elle doit se transformer.Pour nous les élèves du 21ème siècle doivent être respectés et respectueux, plus ouverts sur le monde et donc mieux capables de le comprendre, plus cultivés, plus éduqués, plus instruits, plus autonomes, plus responsables.Pour nous l’école de l’avenir doit être le lieu où les élèves apprennent à maîtriser avec exigence et rigueur les apprentissages fondamentaux. Elle doit prendre en compte les attentes des parents, considérés comme des partenaires à part entière et non comme de simples usagers. Même s’il appartient à la nation d’en fixer les finalités, elle doit s’appuyer sur l’expérience des professionnels en matière d’éducation, de culture et d’enfance.C’est pourquoi nous regrettons vivement qu’avant d’être rendu public, le projet n’ait fait l’objet d’aucune consultation des personnels de l’éducation nationale, de leurs organisations représentatives, des organisations de parents d’élèves, des associations professionnelles et des mouvements d’éducation populaire.Le projet que vous nous présentez est marqué par un alourdissement des contenus, par une conception mécaniste des apprentissages et un affaiblissement de leur dimension culturelle. Il est loin de pouvoir contribuer à la réussite de tous les élèves qui par ailleurs nécessite les moyens adéquats. En fait il pénalisera ceux qui ont le plus besoin d’école et ne favorisera pas la maîtrise de l’ensemble commun des connaissances et des compétences que l’école doit faire acquérir à tous les élèves. Il tourne le dos à l’ambition des programmes de 2002 qui était de doter tous les élèves des outils nécessaires pour réussir au collège.Nos organisations réaffirment avec force que les apprentissages fondamentaux que vise l’école primaire s’appuient sur un travail de l’élève dans lequel la recherche, la découverte et l’expérimentation s’allient nécessairement à la rigueur, à la structuration des connaissances et à la mémorisation.En maternelle, nous rappelons que les programmes ne peuvent occulter l’accueil, la maturation psychologique et affective et ne donner comme finalités que la préparation à l’école élémentaire.Elles vous demandent de procéder à une consultation approfondie de l’ensemble des partenaires de l’Education afin de revoir profondément votre projet. AFEF AGEEM AIRDF CEMEA CRAP FCPE FOEVEN FRANCAS GFEN ICEM JPA LIGUE de l’ENSEIGNEMENT USEP OCCE SE-UNSA SGEN-CFDT SI-EN-UNSA SNUipp-FSU SNPI-FSU 
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D
je suis titulaire mobile dans le 59 et suis deçu de l'intervention de lIA de la somme. Pour quelles raisons devrions- nous transformer nos  60 heures de soutien aux eleves en formation continue hors temps scolaire? Le soutien scolaire se faisant sur le temps scolaire.......C'est inadmissible de disposer des personnels de la sorte. J' ose espérer que d'autres réagiront!!!!!
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S
C'est ça, Dedel, dis nous comment il faut s'y prendre pour ne pas se faire avoir.<br /> -C'est qu'autant en matière de dirlo que sur la perte du pouvoir d'achat, en passant par les retraites et toutes ces heures que l'on va devoir hors temps scolaire et sur lesquelles vous nous avez con....sulté, le SNUipp à du savoir faire.<br /> <br /> Sans lui, ça aurait été pire? c'est ça?<br /> ben, je sais pas, je vais essayer...
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A
Chez nous l'IA nous a informé que, pour les vacances de printemps, il y aura (si le nombre d'élèves proposé est suffisant) 4 stages de remise à niveau ! Soient, la première ou la seconde semaine le matin ou l'après-midi. Ce qui veut dire que ce pourrait devenir attrayant pour l'enseignant voulant s'y soumettre car il pourrait alors multiplier ces 360€ (éentuellement majorés de 25%) par quatre, ce qui équivaudrait à un "treizième mois" non soumis à impot. L'IA nous informe aussi que le directeur dont l'école sera ouverte devra mettre à disposition des volontaires les clés de classes de CM ainsi que celles de l'endroit où se trouve le téléphone (en ce qui me concerne, de mon bureau !) Que le directeur soit ou non sur place, il sera tenu responsable, tout comme l'intervenant sur place si le moindre incident arrive... Quid de nos vacances scolaires ? Quid d'une éventuelle rémunération des directeurs se rendant à l'école sur la période des vacances s'ils estiment qu'ils doivent être sur place vue qu'ils sont responsables ? Les Mairies devront maintenir les locaux scolaires en état de recevoir les élèves (personnel, chauffage, ouverture et nettoyage des sanitaires....) et ne plus prévoir, comme c'est l'habitude, de travaux sur ces périodes où il n'y a personne dans les murs.
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D
Je ne pense pas qu'ilsoit souhaitable de distinguer les luttes des différents groupes que constituent les enseignants.Je crois que dans l'école, tout le monde va être concerné par cette réforme qui se fait dans la précipitation et sans concertation.Les directeurs, c'est sûr, vont avoir un travail organisationnel important. C'est une charge supplémentaire, tout le monde le reconnaît. Mais les autres collègues sont aussi concernés.Prenons le cas des remplaçants. Ingérable et stressant pour les collègues qui vont devoir gérer des changements d'interventions au gré des remplacements et surtout justifier des heures faites ici ou là. Et l'efficacité quand il leur faudra assurer du soutien à des enfants qu'ils ne connaissent que depuis 2 jours !!!Les collègues de maternelle : un vrai sac de noeuds. Surtout dans le cas où maternelle et élémentaire ne sont pas à proximité l'une de l'autre.Les collègues de CM1 et CM2 avec les fameux stages de remise à niveau pendant les vacances... Il va bien falloir qu'ils s'investissent même s'ils ne sont pas volontaires pour assurer les stages : identification des élèves, des besoins, de la nature du soutien...Si on veut avoir des chances de nous faire entendre, une chose à ne pas faire : partir en ordre dispersé ou évoquer les difficultés catégorielles séparément. Surtout ne pas faire de surenchère sur les difficultés que rencontreraient davantage les uns que les autres. C'est le piège à éviter. Plus nous serons nombreux, plus nous montrerons que c'est un problème global, plus nous aurons de chances d'obtenir du ministre qu'il accepte de revoir sa copie et qu'il admette qu'il faut rediscuter des les formalités de mise en place de cette réforme.
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F
Je note 2 choses qui me font hérisser le poil :A) le travail supplémentaire qui en découle pour le directeurB) l'obligation de se retrouver en formation continue non choisie en cas de non utilisation de tout le temps de soutien devant les élèves.Dans les deux cas, on n'observe aucune réserve des représentants du snuipp. C'est incroyable !!!Mais jusqu'où faudra-t-il aller pour qu'on refuse enfin de nous faire tondre la laine sur le dos avec la bénédiction de nos syndicats ?
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M
Attention Henri, tu connais la chanson: " celui qui dit la vérité.... il devra être exécuté!"  On va nous ressortir un bon vieux CDMD motivé par la grandeur de la tâche, une direction collégiale acquise à la pédagogie Freinet et prête à coucher à l'école pour être plus disponible pour l'accueil dès 7 heures du matin ...la routine quoi!    Ben voyons! et pendant ce temps, le dirlo , il se tape tout le boulot....... y' a pas de morale.
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H
Curieux, n'est-ce pas Valmori ? Il me semble que cette remarque (toute empreinte de bon sens !) avait déjà été notée ici par quelques uns d'entre nous et voici déjà pas mal de temps !...alors qu'elle ne semblait très évidente pour d'autres !il est toujours embêtant d'avoir "raison" trop tôt !
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V
Il est vrai que leur charge de travail va sérieusement augmenter avec cette «organisation». On le pressentait... Mais ça va mieux en le disant. On sait à quoi s'en tenir. N'y a-t-il pas des syndicats qui ont donné leur aval..?
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